François Cotat fait partie des quelques vignerons les plus connus de l'appellation Sancerre. Niché en plein coeur du village de Chavignol, son petit domaine érige parmi les vins les plus fascinants de l'appellation. Eclairage sur un vigneron et des vins un peu 'à part'.
Domaine Cotat
– le bourg- Chavignol, 18300 Sancerre
Tel : 02 48 78 01 41
Chavignol est connu pour son fromage de chèvre aussi intense que caractériel, selon son affinage, notamment. Lorsque vous approchez du village, vous êtes saisi par la majesté du lieu, la hauteur et les pentes des terroirs qui vous font face. Notamment 'le mont Damné". 'Le cul de Beaujeu', ou encore 'Clos de Beaujeu' révèlent une déclivité somme toute aussi impressionnante.
FRANCOIS COTAT, UN VIGNERON 'VRAI'
Il y a de cela bien des décennies, les vignerons élaboraient leurs vins, alors que leurs femmes montaient à Paris, afin de vendre les petits crottins. C'est alors qu'elles en profitaient pour également mettre en avant les vins blancs de Sancerre, étincelants compagnons de ce fromage de chèvre. Le rôle des femmes à Chavignol notamment dans le succès des vins de l'appellation ne peut pas être minimisé.
François Cotat fait partie des quelques vignerons les plus connus de l'appellation Sancerre. Niché au plein coeur du village de Chavignol, son petit domaine érige parmi les vins les plus fascinants de l'appellation. Eclairage sur un vigneron et des vins un peu 'à part'.
Chavignol est connu pour son fromage de chèvre aussi intense que caractériel, selon son affinage, notamment. Lorsque vous approchez du village, vous êtes saisi par la majesté du lieu, la hauteur et les pentes des terroirs qui vous font face. Notamment 'le mont Damné". 'Le cul de Beaujeu', ou encore 'Clos de Beaujeu' révèlent une déclivité somme toute aussi impressionnante.
François Cotat fait partie des quelques vignerons les plus connus de l'appellation Sancerre. Niché au plein coeur du village de Chavignol, son petit domaine érige parmi les vins les plus fascinants de l'appellation. Eclairage sur un vigneron et des vins un peu 'à part'.
Chavignol est connu pour son fromage de chèvre aussi intense que caractériel, selon son affinage, notamment. Lorsque vous approchez du village, vous êtes saisi par la majesté du lieu, la hauteur et les pentes des terroirs qui vous font face. Notamment 'le mont Damné". 'Le cul de Beaujeu', ou encore 'Clos de Beaujeu' révèlent une déclivité somme toute aussi impressionnante.
François Cotat fait partie des quelques vignerons les plus connus de l'appellation Sancerre. Niché au plein coeur du village de Chavignol, son petit domaine érige parmi les vins les plus fascinants de l'appellation. Eclairage sur un vigneron et des vins un peu 'à part'.
Chavignol est connu pour son fromage de chèvre aussi intense que caractériel, selon son affinage, notamment. Lorsque vous approchez du village, vous êtes saisi par la majesté du lieu, la hauteur et les pentes des terroirs qui vous font face. Notamment 'le mont Damné". 'Le cul de Beaujeu', ou encore 'Clos de Beaujeu' révèlent une déclivité somme toute aussi impressionnante.
En présence d'une équipe de cavistes passionnante
François Cotat travaille au domaine de son papa depuis 1979. Jusqu’en 1998, il l’accompagne, et apprend. En 1998, notre vigneron reprend le flambeau et assume ainsi la production des vins de la propriété, sur les fameuses côtes de Chavignol. Il prend les destinées des 4 hectares du domaine familial.
3 TERROIRS CHEZ FRANCOIS COTAT
La diversité des terroirs offre un terrain de jeu palpitant à François. Et il parvient parfaitement à en extraire la quintessence. Petit eclairage nécessaire.
Les Monts Damnés, à Chavignol
La Grande Côte: Il repose sur un sol argilo-calcaire, et des marnes du Kimmeridge. Sur ces terroirs kimmeridgiens, les vins s’offrent plus minéraux, et souvent plus amples, notamment après évolution.
Cul de Beaujeu: Le Clos de Beaujeu est la partie qui forme l’ensemble de la parcelle, ou du coteau atteignant jusque 45% de dénivelé. Son exposition est (au levant) et sud-est révèle un sol de type argilo-calcaire et marnes kimmeridgiennes. On y retrouve en surface des « caillottes », plus exactement des cailloutis fossilisés. Le Cul de Beaujeu, minuscule peut être considéré comme la parcelle la plus remarquable de Chavignol. La déclivité impressionne, et les conditions d’exploitation y sont plus compliquées.
Les Monts Damnés: Ce coteau impressionne par sa pente et son exposition solaire, au sud! Jusqu’au bas et milieu-haut de coteau, le sol est argilo-calcaire, et de marnes kimmeridgiennes. Notes fumées et acidités strictes se retrouvent régulièrement sur ce terroir. Sur la partie haute, le sol situé au bord des arbres, est dit du Portlandien, on le remarque à la blancheur de sa roche. Coteau qui révèle des vins assez étonnants, vifs sans être variétaux, avec quelques notes finement salines, de grande garde révélant une minéralité appuyée sur des millésimes évolués.
Une autre parcelle, est impulsée par François Cotat, ‘les caillottes’, parcelle davantage pierreuse (calcaire). Cette parcellaire est proposée depuis 2005 au domaine.
DES CUVEES RECONNUES
La ‘Cuvée Spéciale’ fut nommée ainsi jusqu’en 1998. Depuis ce millésime, celle-ci a changé de nom pour devenir la cuvée ‘Paul’. Celle-ci se distingue par un élevage différent, en effet avec cette cuvée, les vins en tonneaux ne terminent pas leur fermentation. Il en résulte souvent une pointe plus ou moins marquée de sucres résiduels. Tonneaux souvent agés de 7 à 8 ans.
‘Les Caillottes’ offrent un terroir assez neutre des dires de François. Superbe coteau, au sol peu profond.
François Cotat a une vision très personnelle de la vinification, et il ne recherche pas les longues fermentations, de crainte de voir les vins se fatiguer, comme il nous l’a révélé lors de notre visite.
Il n'y a pas chez notre vigneron le désir de rajouter des levures, il préfère privilégier celles du raisin, ainsi elles sont indigènes. Les vendanges sont entières, pressurage pneumatique ultra précis, peu de foulage donc peu de bourbe. François Cotat opère juste un léger batonnage en fin de fermentation.
François Cotat souhaite éviter les débourbages, ne levure donc pas, et ne colle pas ses vins. Non interventionniste, c'est le cas de le dire. Notre vigneron opère 2 soutirages, et ne filtre pas non plus ses vins. Les vendanges se font relativement tardivement. Soulignons enfin que notre vigneron sulfite. Les mises en bouteille sont souvent réalisées avant l'été, assez précocement. Le procédé reste inchangé depuis belle lurette, et il est assez étonnant de constater l'incroyable capacité de garde de ses vins.
Laissons faire la nature, tout simplement!
VIGNES ET VENDANGES
Le travail des vignes est conduit en lutte raisonnée, et parfois il opère quelques labours. En revanche la taille est très sévère afin de limiter les rendements, atteignant 35/40 hl/ha, selon les millésimes. Les vendanges sont évidemment manuelles avec un tri sérieux à la vigne. Concernant celles-ci, il me semble important de souligner le fait que chez François Cotat, elles se font souvent assez tardivement. Ce qui explique la présence sur certaines cuvées de la présence d'un léger sucre résiduel. Ainsi, lors de la dégustation d'un magnum de 'Cuvée Spéciale' 1996, celui-ci fut clairement ressenti. Mais cela n'empêchait pas l'expression d'une acidité impressionnante, offrant un vin d'une remarquable pureté.
Cette parenthèse me semble essentielle à ouvrir, lorsqu'on aborde les vins de François Cotat. Ainsi, notre vigneron n'hésitera pas à soufrer ses vins, même un tout petit peu plus que la normale si besoin, afin d'éviter toute reprise de fermentation. Logique. En conséquence, la dégustation des vins jeunes du domaine peut se révéler difficile, les vins pouvant paraitre, rigides.
C'est donc dans le temps que les vins de ce domaine deviennent remarquables. Ne jamais les juger ni trop vite, ni trop tôt. Des vins d'initiés, en somme.
ET SES VINS ROUGES ?
François Cotat élabore quelques vins rouges, rosés, de manière confidentielle. D'ailleurs, ils n'obtiennent jamais l'agrément Sancerre, pour la bonne et simple raison, que ces vins ne subissent pas leur fermentation malo-lactique. Notons enfin, que comme pour la plupart des pinots noirs plantés à Chavignol, les vignes sont exposées au nord.
LA DEGUSTATION
In situ en compagnie d'amis cavistes, et François Cotat.
Sancerre 'les caillottes' 2012
Densité de plantation de 8000 pieds/hectare
Nez fin, d'agrumes, d'infusion, floral en fond de nez. Bouche ample, belle matière, au fruité blanc strict, révélant une finale franche, de bonne vitalité, soulignée par une note d'infusion. Bonne persistance saline, un poil tiraillante. Normal à ce stade.
****
Sancerre 'Les Monts Damnés' 2012
Sol argilo-calcaire, marnes. 8 mois dans des fûts de 600 litres de 7/8 ans, afin d'éclaircir le jus.
Nez élégant, aérien, infusion, miel d'acacia. Floral. Bouche grasse, suave, oscillant entre les agrumes, et de fins amers en finale. Persistance tendue, citronnée, salivante.
****(*)
Sancerre 'Cul de Beaujeu' 2012
4 gr de sucre résiduel
Nez subtil, floral et fruité (fraises), agrumes, fond de nez d'infusion, sensation aérienne. Bouche dans le sillage, néanmoins charnue, parfaitement tenue par la fraîcheur ressentie au nez, oscillant entre pointes florales et fruitées. Finale dépliée, aérienne, révélant une magnifique vitalité à l'ensemble malgré une légère rectitude en persistance. Prometteur en l'état, il ira loin ce vin.
*****
Sancerre 'La Grande Côte" 2012
Nez floral, résineuse. Retenue, puis notes d'infusion, miel acacia en fond de nez. La bouche, riche, de beau volume, oscille entre tendreté et la puissance retenue. Joliment centré, et dense en son milieu, le vin offre une finale saillante, à peine adoucie par un fin résiduel. Persistance tiraillante, un poil rigide, stricte, prometteuse. Voilà un vin étincelant, qui offrira sans nul doute énormément d'éclat une fois que le temps aura oeuvré. Il souffle le chaud et le froid, comme seuls les très beaux vins savent en jouer…
****(*)
Une bien belle bouteille en devenir
Sancerre 'la Grande Côte' 2001
Vendanges mi-Octobre, chaudes, et pourtant riches en acidité. Millésime pas facile selon François Cotat.
Nez miellé, finement truffé, à l'aération, oxydatif, cèdre et épices douces en fond de nez. Bouche droite, étonnamment pétrolée, complexe en son milieu, entre l'oxydatif et la fraîcheur en finale. Zestes d'agrumes confits en persistance, révélant un ensemble joliment tenu.
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Sancerre 'Monts Damnés' 1999
Nez sur la croûte de fromage, complexe, champignons blancs, cannelle. Bouche grasse, presque ample, au milieu profitant d'une touche florale étonnante. Finale épicée, terrienne. La persistance est tout en finesse, élégante, sans heurts. L'ensemble s'offre davantage compact, sa,s lourdeur aucune.
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Sancerre 'Cul de Beaujeu' 1997
Nez étonnant, frais, coquilles d'huitres, champignons, puis cédrat. Bouche franche, droite, de grande pureté. Epices douces et fruits en gelée se disputent une finale classieuse, soulignée par de fins amers. Un vin qui ne rogne nullement sur son caractère, affirmé. Qui peut dérouter.
****(*)
Sancerre 'Grande Côte' 1995
Nez fumé, complexe, entre la pêche blanche, puis le bourgeon de cassis. Fringant ! Litchi, eucalyptus en fond de nez. Bouche dans le sillage, pleine, dense, et complexe. Finement cirée en son centre, acacia, puis toujours la pêche en finale. Qui s'offre énergique, joliment dépliée. Un vin superbe, aérien, vibrant, proposant un magnifique souffle. Voilà une des signatures du domaine.
*****(*)
Notation:
3 *** Vin de qualité
4 **** Vin de grande qualité
5 ***** Vin superbe, de très bon niveau
6 ****** Vin remarquable, se démarquant par sa qualité, de belle émotion.
7 ******* Vin sublime, de très haut niveau qualitatif, valant le détour, émotion soutenue.
8 ******** Vin exceptionnel, offrant une émotion et une qualité hors normes
CONCLUSION
Les vins de François Cotat méritent toute attention, encore faut il avoir la possibilité de les approcher. En effet, le domaine étant minuscule, et les cuvées excessivement recherchées, il n’est jamais simple de se les procurer. Se rendre au domaine est donc fort recommandé. François Cotat souhaite rester discret, évite la mise en avant, et n’a pas voulu être pris en photo, lors de ma visite…c’est tout dire !
Sur Chavignol, très clairement, les Monts Damnés, et le Cul de Beaujeu, ou encore la Grande Côte révèlent des vins étincelants, de franche pureté. Ce travail ‘à l’ancienne’, si peu interventionniste, et ne faisant jamais appel au bois neuf, permet aux vins de gagner en netteté, en pureté, et en énergie.
Ne vous y trompez pas, ces vins sont capables de proposer de superbes ossatures, de gagner en volume et en relief avec les années. Après 10 ans, voire au delà de 15 ans, les Sancerre de François Cotat peuvent se dévoiler renversants. Ce fut le cas avec son magnum ‘La Grande Côte’ 1996 qui m’avait époustouflé par sa vitalité, son éclat et sa dimension, malgré un léger sucre résiduel. Certes, dans leur jeunesse, les vins ont tendance à se replier sur eux, s’offrir rigides. Ne les jugez alors pas trop vite, et oubliez les votre cave. Car ils sauront vous émouvoir au delà de 15 années de garde.
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Stéphane Richard
L’envie d’y goûter se fait sentir! J’irai peut être rendre visite à se domaine lorsque je serais de passage! J’espère que tu as bien profité de ces moments de dégustation! Merci à toi pour cette découverte.
laurentg
Le top du sauvignon (au niveau mondial), pour une visite enjouée avec des vins puissants et voluptueux (Chavignol n’est pas Bué) qui se goûtaient avec grand plaisir
Magnifiques 2012.
Grande classe et potentiel confirmés avec :
Culs de Beaujeu 2007
Monts Damnés 2001
Grande Côte 1995
Grande Côte 1982
Cuvée Paul 1995
Romain
On peut très bien être non interventionniste durant toute la vinif / Élevage et sulfiter un peu fort au moment de la mise en bouteille.
On le remarque souvent chez les vignerons qui laissent un peu de de sucres résiduels. Le sucre combine très bien avec le SO2. Ce dernier ne joue donc plus son rôle d’antioxydant
laurentg
Superbes vins, transcendant le sauvignon.
Bu encore récemment 2 très beaux flacons :
Grande Côte 2002
Grande Côte cuvée spéciale 1996
Selon toi, comment s’explique cette "rigidité" que tu évoques ?
Je serai en visite au domaine la semaine prochaine.
Verticale en 63 vins, avec photos :
http://www.invinoveritastoulouse.fr/index.php/degustations-thematiques/verticales-domaine/703-20120606-cotat
Emmanuel Delmas
Salut Laurent !
Ecoute, j’aborde succinctement la question dans l’article. Je pense que le fait de faire des élevages courts, dans de vieux fûts, des débourbages très légers, (afin de préserver la clarté, entre autre des jus), et le non interventionnisme doivent aider en cela.
De plus, certaines cuvées, notamment Paul (ex Cuvée spéciale) ne terminent pas leur fermentation. Il reste donc un peu de résiduel. Par ailleurs, autre élément important, les raisins sont récoltés tard, et ont naturellement une belle maturité. Là encore, ils préservent un peu de sucre à l’arrivée. La conséquence ? François Cotat a la main un peu plus lourde concernant le sulfite. Du coup, les vins peuvent paraitre souvent rigides dans leurs premières années.
laurentg
Emmanuel,
Il y a eu d’interminables discussions sur le sujet chez IVV Toulouse, sans réponse définitive … (et François Cotat, n’aime pas que l’on imagine ses vins trop protégés, précisément).
La "rigidité" des vins peut donc avoir d’autres causes qu’un excès de soufre, encore plus si l’on pense en déceler sur des vins plus tous jeunes (cf nos 2 virées chez Trimbach en 2013, sur CSH et FE, dont nous sommes paradoxalement revenus avec des questionnements sur l’oxydation) …
Ce qui vaut pour le Riesling chez Trimbach ne vaut peut-être pas pour le sauvignon chez Cotat et comme toujours, il faudrait des échanges pointus entre les amateurs, le vigneron, les oenologues pour aller plus loin sur ces thèmes complexes (pour croiser les sensations – variables d’un individu à l’autre – et les réalités physico-chimiques).
A noter que François Cotat est en photo (prise par Philippe Ricard) dans notre cr ! 🙂
Je note au passage dans ton propos un paradoxe : non interventionnisme et sulfitage
Pour finir, il y a vraiment Sancerre et Chavignol.
François Cotat produit, avec Edmond Vatan (Clos la Néore) les expressions les plus abouties du sauvignon.
Emmanuel Delmas
Tu as bien raison Laurent de souligner toutes la difficulté de ce sujet. On peut retourner le problème maintes fois, dans tous les sens, on constatera que personne n’aura vraiment la réponse…Vatan, voilà un autre épatant domaine !
JL Gonzales
Grand fan. Quelle pureté !
Mathieu
Vous m’avez tout deux donné envie d’y gouter merci, je vais tâcher de m’en procurer.