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Le Blog du Sommelier

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Vous êtes ici : Accueil / Accords mets & vins / VIN ET AGNEAU

VIN ET AGNEAU

20 avril 2011

 

                     

 

L’agneau…Voici une viande qui n’intimide pas les vins rouges à forte ossature. La chair de celle-ci se montre bien souvent tendre, parfois elle sait se montrer particulièrement savoureuse s’agissant de l’agneau blanc. Afin d’en savoir un peu plus, je vous invite à visiter ce site, ici.

 

 

Lorsque l’on pense agneau et vin, inévitablement, le parallèle est tracé entre l’agneau de Pauillac, et le vin de Pauillac.

 

 

LE VIN ET L’AGNEAU

 

AGNEAU ET VIN

 

 

La chair de l’agneau est tendre, souvent savoureuse, et pour les agneaux de Pauillac, le goût est plus complexe, et marqué.Le vin rouge est préconisé, d’autant plus si celui-ci propose une forte ossature.

L‘accord est merveilleux avec un vin de Pauillac et son agneau. Mais, encore ne faut il pas offrir le 1er vin venu. Je pars toujours du principe, qu’ un vin doit se montrer équilibré, afin d’offrir toute sa force, et un grand intérêt.Si le vin de Pauillac a pour lui, sa force, et sa complexité, ces caractéristiques ne se révèlent qu’une fois le vin approchant une certaine maturité. Lorsque finalement, les tanins, l’acidité, et l’alcool forment un ensemble harmonieux.Cela est d’ailleurs vrai pour tous les vins, en général. Le tanin trop rugueux aura bien du mal à prolonger l’échange avec la viande.

Ce n’est qu’après quelques années, que le vin de Pauillac révèlera son architecture si complexe, animale, et opulente. Par exemple, préférez un Lacoste Borie 1997, 2nd vin du château Grand Puy Lacoste, à ce même grand vin 2000.

Lire aussi:  MEILLEUR SOMMELIER D'EUROPE 2017

 

Non pas que ce dernier ne soit pas intéressant, simplement, laissez celui-ci évoluer encore quelques années, afin qu’il offre tout son potentiel au moment opportun.

 

Un vin de Pauillac 1996, 1997 ou encore 1999, saura se montrer approchable, et plus confortable, qu’un Grand Cru classé, aussi merveilleux soit-il, sur des millésimes trop jeunes.

Le Pauillac, à maturité, proposera un nez complexe, animal, et une bouche tout en volume, persistante, et des tanins certes présents, mais nobles, qui donneront une véritable impulsion au vin, et permettra un accord incisif, et magique avec cet agneau au goût si prononcé.

 

 

D’AUTRES VINS ?

 

 Saint Joseph, Durand         Montus, Madiran, Alain BRUMONT         Misiones del Rango, Chili  

 

 

Les vins rouges ayant un certain répondant, harmonieux et pleins de personnalité, offrent une interessante alternative.

Ainsi, le cépage Syrah, sis en Vallée du Rhône septentrionale, sur les appellations de la Côte Rôtie, Cornas, St Joseph, ou les Hermitage, et Crozes Hermitage. Les vins façonnés par Gaillard, Cuilleron, Allemand, Gangloff, Graillot, et tant d’autres, aussi talentueux les uns que les autres.

Que penser d’un majestueux Châteauneuf du Pape ? ou d’un Gigondas, voire même de ce grandiose Sang des Cailloux, cuvée Lopy, ou l’Oumage.

Les vins du Sud-Ouest, répondront aux attentes également, en tout premier lieu les vins d’Alain BRUMONT, que je trouve revigorés, et toujours plus étonnants. Les menhirs, l’Argyle rouge, la Tyre, sans parler des Montus, antérieurs à 1999. (afin de les déguster à leur apogée)

Le Cahors, semblant plus bourru dans sa prime jeunesse, saura se montrer plus élégant après quelques années, la finesse ciselée des Cahors du château de la Reyne, que je trouve formidables.

Lire aussi:  L'EAU MINERALE N'ETAIT PAS BONNE...

Les vins du Languedoc, et du Roussillon, qui offrent des vins merveilleux, souvent épicés, concentrés. Ne vous méprenez pas, il y a depuis une quinzaine d’années, une prise de conscience de la part des vignerons. Cette région offre un panel de vins étonnants. Les cépages syrah, grenache, mourvèdre, carignan, cinsault, merlot, cabernet sauvignon,(et d’autres) s’y dévoilent de manière majestueuse parfois. Ils savent réciter leur partition, à l’unisson pour se mettre au service des mets, et du plaisir. Longilignes, étirés, pointus, ou concentrés, opulents, parfois confiturés, ils séduiront les palais les plus aguerris.

Les vins de Bourgogne, et leur sculpture plus étirée, élancée, propose des vins parfois concentrés, pleins de sève, sur Nuits Saint Georges, ou Chambolle Musigny, et Vougeot, polis par les Chevillon, Thibault Liger Belair, Jayer, ou encore Mugnier.

Nous pourrions trouver tant de vins structurés qu’il serait impossible de tous les citer.

 

 

En somme, si il ne fallait retenir qu’une règle, si tant est qu’elle puisse exister, ce serait celle qui consisterait à marier l’agneau avec un vin sculpté dans le roc, que la maturité aura annobli, et assagi.

Simplement celle-ci, et vous constaterez par vous-même, à quel point l’accord entre ces deux personnalités peut se montrer majestueux, et vous régaler.

 

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ACCORDS METS ET VINS

ACCORDS METS ET VINS

Parce que l’accord mets et vins n’est pas chose anodine. Un mariage réussi et partagé, font de l’accord mets et vins un moment inoubliable.Voici une vingtaine de thèmes qui vous permettront de vous

https://www.sommelier-vins.com/2019/11/accords-mets-et-vins

Retrouvez ici le sommaire de tous les accords mets & vins proposé sur le site. Plus de 50 ! Bonne lecture.

Lire aussi:  VINS BUS RECEMMENT # 18

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Classé sous :Accords mets & vins, Conseils, Inclassable Balisé avec :Accords mets et vins, DIVERS, Vin & agneau

Interactions du lecteur

Commentaires

  1. Véronique Morel

    30 novembre 2016 à 8:50

    Bonjour, j’ai un Gigondas Montirius Terre des Aînés 2010. Je dois proposer quel plat d’après vous?
    Merci pour vos précieux conseils.

    Répondre
    • Emmanuel Delmas

      30 novembre 2016 à 1:52

      Bonjour, faites simple. Viandes rouges, voire agneau, tapenade d’olives noires…

      Répondre
  2. Monique Lavallée

    9 août 2016 à 8:48

    J’ai un vin de Joseph Drouin Chambolle Musigny 1e Cru 2011,
    J’aimerais savoir quel met est le plus en accord avec ce vin.
    Je reçois ce vendredi 12 août, Merci

    Répondre
    • Emmanuel Delmas

      14 août 2016 à 11:50

      Oups. Sorry…je lis votre message trop tard…

      Répondre
  3. Sylvain

    25 avril 2016 à 1:30

    Bonjour,

    ma compagne et moi nous marions en automne et le plat sera composé d’un carré d’agneau et d’un morceau de filet de boeuf avec des haricots verts. Nous souhaitons nous orienter vers Nuits-St-Georges mais ses climats varient énormément (cailles, vaucrains, argilières, …). Auriez-vous une recommandation parmi ceux-ci ?

    Répondre
    • Emmanuel Delmas

      25 avril 2016 à 1:53

      Bonjour, les cailles sont assez remarquables en effet, les Chaignots également dans un autre registre, l’important étant surtout de bien choisir votre vigneron.

      Répondre
    • Sylvain

      25 avril 2016 à 7:40

      merci beaucoup pour votre réponse, j’ai des cailles et des chaignots de chez Chevillon, cela fera donc l’affaire !

      Répondre
    • Emmanuel Delmas

      25 avril 2016 à 9:49

      Un vigneron absolument remarquable ! Alors profitez bien! ,-)

      Répondre
  4. Chautems

    22 mars 2016 à 7:39

    Bonjour,
    Nous nous marions ce printemps et avons opté pour un plat avec de l’agneau qui nous est cher. Nous recherchons un vin qui se défend bien pour compléter l’agneau, mais aussi un vin rond et « facile » à boire pour qu’il se laisse boire, même après la fin de l’assiette. La syrah nous fait un peu peur.
    Avez-vous des idées ? Languedoc, Minervois, Sud ouest ?

    Répondre
  5. Leyla Torrenté

    30 mars 2013 à 12:51

    une bonne Syrah ou un Cornalin du Valais 🙂

    Répondre
  6. Patrick Maclart

    29 mars 2013 à 12:43

    Pour moi, la syrah et l’agneau sont un véritable mariage d’amour. L’intensité de la syrah ira avec l’intensité et la sanguinité de l’agneau. Pour exemple : côtes d’agneau aux herbes et syrah
    Leone 98 de Peyre-Rose, tajine d’agneau aux pruneaux avec la cuvée Jean Julien de chez Jean-Pierre Séguéla, etc…

    Répondre
  7. gérard

    9 avril 2012 à 12:06

    Je ne les connais pas du tout. Merci pour l’info. Est-ce les Confuron de Vosne-Romanée ? Pour revenir à Moulin à Vent, je viens d’en recevoir du domaine de Vissoux, dont j’apprécie les Fleurie et
    Beaujolais génériques depuis, longtemps mais je n’ai pas encore goûté le Moulin à Vent.

    Répondre
  8. gérard

    8 avril 2012 à 11:30

    Aujourd’hui sur un agneau à l’indienne (épices douces), option Beaujolais du côté de Moulin à Vent. Déception avec un Château Moulin à Vent 2009, trop jeune certainement, mais trop marqué par
    l’élevage et aux tanins sans charme et sans finesse. Par contre le Château des Jacques 2005 de Louis Jadot s’est révélé comme un formidable compagnon de ce plat, avec suffisamment de coffre et de
    tension pour l’accompagner jusqu’à un milieu de bouche sur le noyau de cerise absolument délicieux.

    Répondre
    • Emmanuel DELMAS

      8 avril 2012 à 11:37

      Jadot je n’ai jamais accroché sauf sur ce vin ! Qu’il réussit très bien, comme à l’époque avec son Grand Carquelin. -) Château du Moulin à Vent, dégusté également, et pas tout à fait convaincu
      par le style. Toutefois, tout nouveau, il se cherche, et le potentiel est bien là. Il faut que le fond s’exprime davantage et cela passe par des élevages moins appuyés, forcément. Mais j’ai eu au
      téléphone le jeune propriétaire et il en a pleinement conscience. Un domaine donc là aussi à suivre. En Beaujolais, il  ya du monde ! A Fleurie, Dutraive et aussi et là on en parle moins,
      Clos de Mez avec Marie Elodie Zighera Confuron.  

      Répondre
  9. Guillaume Joerger

    8 avril 2012 à 12:46

    J’ai la chance d’avoir un château Montus de chez Brumont de 1990 ds la cave!Ça va être un délice! Bel article en tout cas!

    Répondre
  10. Charles Xerri

    8 avril 2012 à 11:59

    C’est marrant, j’ai mis Lacoste-Borie 2000 en avant aujourd’hui !

    Répondre
  11. Fabrice Utilisateur

    23 décembre 2011 à 3:18

    Bonjour Emmanuel,

     

    sur l’agneau, il faudrait ajouter un Tavel bien vineux comme celui de la Mordorée , avec un gigot ou des
    côtelettes, c’est délicieux et s’il y a du thym ou de l’aïl c’est encore meilleur

     

    J’ai fait pas mal de recherches sur les accords avec le Tavel de la Mordorée, si ça vous intéresse, dites le moi.

     

    Bonne fin de journée

     

    Fabrice Delorme

    Répondre
    • Emmanuel DELMAS

      26 décembre 2011 à 11:48

      En effet, les vins du domaine sont parfaits pour ce plat. A la fois denses, et surtout toniques, qualité essentielle pour accompagner les mets à table…!

      Bonnes fêtes !

       

      Répondre
  12. Le dégustator

    23 avril 2011 à 3:44

    Tout d’abord merci d’avoir pris le temps de me répondre.

    Oui, c’est vrai que d’autres vins sont cités, je le reconnais.

    Je suis d’accord que la nécessité de pertinence existe. En ce qui me co…ncerne je l’oriente plus, mais c’est un choix, sur
    l’association entre les caractéristiques détaillée du plat (à base d’agneau) et celles du vin qui le mettra en valeur tout en se sublimant.

    A propos du Pauillac, sans vouloir enfoncer le clou et être trop lourd (j’essaye !) je reste persuadé par expérience concrète que les associations mets et vins ne souffrent pas trop bien la
    généralisation. Pour me faire l’avocat du diable et provoquer un peu plus, en toute amitié et sans méchanceté aucune, sois en assuré, je sais que certains plats à base d’agneau ne se révèleraient
    pas aussi gourmand que cela avec un Pauillac. Il peut être important de voir dans quels cas.

    Et puis encore une fois, chaque préparation utilise divers ingrédients et accompagnements suivant des quantités et des proportions variables qui peuvent mettre en défaut le raisonnement. Ceci est
    très intéressant à analyser « au fond » pour établir un lien de saveur entre ces éléments et ceux du vin qui conviennent. L’origine régionale de la recette est tout aussi importante. Cela se
    constate très vite avec, par exemple, un Axoa d’agneau au piment d’Espelette ou un Carré d’agneau en habit vert, cannelloni de courgette et chèvre frais, ail noir qui s’associera avec bonheur sur
    un beau vin de vieilles vignes de Carignan. Il est clair qu’une Chartreuse d’aubergines à l’agneau confit s’associera avec gourmandise avec un Pauillac de même qu’une côte d’agneau grillée à nu
    !

    En tout cas merci pour tous les sujets qui sont abordés et qui permettent d’avoir des échanges sérieux, constructifs et professionnels. Et désolé si parfois je « pousse » un peu. C’est sans
    prétention ni méchanceté.

    Répondre
    • Emmanuel DELMAS

      23 avril 2011 à 3:45

      Il n’y a aucun souci! Pour quelque vin rouge que ce soit, ses tanins doivent être fins, et si possible fondus…un pinot noir de 3/5 ans, sur Irancy, ou d’Alsace, Bouzy, ou un Nuits st
      Georges de 10 ans, un Pauillac de 15 ans, un Bandol de plaine (argile) de 5 ans, un Bandol (calcaire) de 10/15 ans, etc…on peut en faire le tour, selon les assaisonnements, les cuissons et les
      condiments…

      Répondre
  13. misztenget

    22 avril 2011 à 6:44

    Va pour l’Alsace alors. 🙂

    Répondre
  14. misztenget

    22 avril 2011 à 6:22

    Ne pas confondre les VT et les « aszu » de Tokaj. Ces derniers sont effectivement très doux, mais parmi les VT on trouve des discrets, avec un sucre résiduel modeste de 100-110 g. En même temps,
    ils sont souvent assez épicés, c’est pourquoi je pensais qu’ils pourraient éventuellement se marier avec un agneau sucré-salé. Mais bon… faut voir. 🙂

    Répondre
    • Emmanuel DELMAS

      22 avril 2011 à 6:37

      C’est bien pour cela que je me suis permis de signaler les 2 vins, dans la mesure où il y avait Tokaj et VT. Les Vendanges Tardives sont alsaciennes, et en effet Aszu, une pâte passerillée à la
      teneur en sucre plus ou moins élevée selon le nombre de Puttonyos. Le souci est que le sucre pose gros problème à table, même sur un tel mets. L’épine dorsale du vin étant son acidité, il faut
      privilégier les vins toniques. Même purvu d’une belle fraicheur, celle-ci pourra accepter un léger sucre résiduel. Un riesling tranchant, sur un grand cru peut supporter jusque 40/50 gr de
      résiduel. Mais avec 100/110 gr, il sera délicat de ne pas saturer. C’est pkoi je propose de partir non pas sur un VT mais éventuellement sur un grand cru. Un Rosacker par exemple, ou autre. 25 à
      40 gr sont largement suffisants. Si on souhaite trouver un « entre deux »…

      Répondre
  15. misztenget

    22 avril 2011 à 5:14

    Et le vin blanc moelleux? Tajine d’agneau aux abricots secs + un VT de Tokaj, par exemple?

    Répondre
    • Emmanuel DELMAS

      22 avril 2011 à 6:09

      Une Vendanges Tardives risquerait d’écraser les papilles, et d’alourdir le mets. En revanche un Pinot gris d’Alsace classique jonglant entre notes fruitées et épicées, dressé sur une bonne
      charpente devrait sans problème englober le plat, et le rehausser. Quant au Tokaj de Hongrie, autant oublier, sa sucrosité étant bien trop dense et le vin trop concentré. A proposer sur le
      dessert, en somme…ou à déguster pour le plaisir, tout seul entre 2 repas 😉

      Répondre
  16. Le dégustator

    22 avril 2011 à 3:46

    Pâques approche, l’agneau aura sa place à table, mais quels vins proposerez-vous ? Tout dépend de l’origine de la bête (Pauillac, Pré-Salé de la Somme, etc.), des parties cuisinées, de la
    recette et de ses ingrédients, de leur dosage, …. …Très modestement, car il faut à mon sens toujours faire preuve
    d’humilité, je pense qu’il est toujours difficile de répondre à des questions générales par des réponses générales. Cela s’applique aussi au vin; un Pauillac certes, mais lequel, réalisé par qui,
    de quel millésime et de quel âge, avec quelle caractéristiques, etc.

    Répondre
    • Emmanuel DELMAS

      22 avril 2011 à 3:49

      Chose à laquelle nous tentons de répondre sur l’article. Pauillac profite d’un éclairage certes plus long car nécessaire dans la mesure où les lecteurs ont besoin de réponses assez
      pertinentes sur ce sujet. Tout en ne s’enfermant pas d’ailleurs…

      Répondre
  17. Antoon LAURENT

    22 avril 2011 à 12:01

    Ce 99 MAURO VS était encore d’une belle jeunesse d’où une carafe 2H Riedel Magnum avant service.

    Le nez fut kirsché , cassis, tabac ; l’attaque vive, le milieu suave et la finale puissante ; en retro-olfaction fruits des bois,
    épices et torréfaction. Belle complexité, beaucoup de plaisir et encore de l’avenir.

    Répondre
    • Emmanuel DELMAS

      22 avril 2011 à 3:43

      En effet, je confirme que ce vin a un grand potentiel de garde. Jeune, il a un côté dur, et terrien soulevé par un élevage bien marqué. Il lui faut bon an mal an, 15 ans avant qu’il s’offre tout
      en finesse et gourmandise. J’acquiesce !

      Répondre
  18. LAURENT Antoon

    21 avril 2011 à 8:38

    Bonjour,

     

    ne dit-on pas doux comme un agneau 🙂

    En effet, un vin construit dans le roc puis assagit semble la philosophie de cet accord d’où : le we dernier j’ai opté pour un MAURO VS 99 avec le Lechazo local

    Répondre
    • Emmanuel DELMAS

      21 avril 2011 à 8:44

      Ah Antoon, voilà un vin qui, une fois bien évolué sait se faire doux comme un agneau, j’en conviens ! Comment se comportait il ?

      Répondre
  19. Mickael Manceau

    21 avril 2011 à 8:44

    Tout dépend de la préparation de l’agneau ……moi si je pouvais faire un bon repas de pâques je m’ouvrirais un clos milan ….ça fait longtemps !

    Répondre
  20. Christophe Ligeron

    20 avril 2011 à 10:48

    Bon, je me lance : une cuvée Tradition du domaine Richeaume …

    Répondre
  21. Stéphane Dupuy

    20 avril 2011 à 10:43

    UN BON BERGERAC UN POINT C’EST TOUT!

    Répondre
  22. Vincent Pousson

    20 avril 2011 à 10:39

    Je tomate légèrement la sauce de l’agneau, j’aille bien avec du rose de Lautrec, je citronne légèrement la peau afin qu’elle croûte et j’ouvre une bouteille de Domaine des Tours VdP 2006
    par personne…

    Répondre
  23. Mickael Paithel

    20 avril 2011 à 10:37

    Le Pauillac est trop évident mais comme il fait chaud, je propose un Gamay de la maison Marionet par exemple.

    Répondre
    • Emmanuel DELMAS

      20 avril 2011 à 10:38

      Bone idée également ! Marrionnet offre des vins plutot jolis.J’avoue, j’avoue, bon choix 😉

      Répondre
  24. Corélie

    20 avril 2011 à 10:17

    J’oubliais… Bravo pour le nouveau design de ton blog : très classe et très pro !

    Répondre
    • Emmanuel DELMAS

      20 avril 2011 à 10:23

      Merci Corélie, j’en suis très très content ! Mais je me suis tâté car j’aimais bien l’autre aussi…;-)

      Répondre
  25. Corélie

    20 avril 2011 à 10:16

    Salut Emmanuel,

    J’ai mangé ce week-end un tajine d’agneau au fenouil, aux poires et aux fruits secs. La viande, cuite 2h30 au four, est presque confite. Avec un vin rouge, l’accord a été désastreux. J’y aurais
    bien mis un vin blanc moelleux. Qu’en penses-tu ? Bisous.

    Répondre
    • Emmanuel DELMAS

      20 avril 2011 à 10:20

      Salut Corélie,

      Le vin blanc est une bonne solution, mais un moelleux aurait eu tendance d’alourdir l’ensemble. En revanche, un vin rouge de « gastronomie » aurait été parfait. Quand j’écris « de gastronomie », je
      veux dire par là, souple, tendu et dépouillé de ses tanins. Voilà LE vin rouge de gastronomie.

      Un Bourgogne Irancy (Cantin, par exemple) 2005, 2006 ou 2007, un pinot noir des Riceys, ou d’ Alsace, un St Pourçain auraient permis un très bel accord, car ils auraient glissé sous le mets, puis
      rehaussé et leur fraicheur aurait parfaitement relayé les tonalités épicées et aigres douces de l’agneau.

      Tente le coup la fois prochaine et tiens nous au courant, si tu le veux bien. ,-)

      Bonne semaine !

      PS: je suis en recherche d’un studio sur Nantes 😉

      Répondre
  26. JLM

    20 avril 2010 à 11:52

    L’agneau est une viande assez forte et vos conseils pour le mariage des vins sont parfaits.

    Cependant les vins préconisés sont relativement chers pour une simple grillade au barbecue. Que porposez vous en vins entre amis autour d’une grillade à des prix abordables ?

    Répondre
  27. Mei Li

    6 avril 2010 à 11:35

    Emmanuel, je comprends mieux apres que j’ai eu des experiences…:-)

    Répondre
  28. Marie Lottin

    4 avril 2010 à 6:26

    et un agneau pasqual aux figues roties avec un rosé barriqué d’un domaine que je connais bien et dans un millésime 2005!!!!

    Répondre
  29. Jean Pierre Prévost

    4 avril 2010 à 6:36

    Les derniers goutés : 2003 pour Perrin « Les Sinards » et un Vieux Télégraphe 2005 inoubliable… jeune, mais déjà d’une richesse aboutie !

    Répondre
  30. Jean Pierre Prévost

    4 avril 2010 à 6:34

    Châteauneuf de chez Perrin ? Ou Vieux Télégraphe ?

    Répondre
  31. Chablis Defaix

    4 avril 2010 à 6:30

    Tu peux essayer aussi un Courtade 2003 de Porquerolles
    c’ est beau !

    Répondre
    • Emmanuel DELMAS

      4 avril 2010 à 6:31

      Nous changeons de registre, là, Daniel Etienne ! 🙂

      Répondre
  32. Chablis Defaix

    4 avril 2010 à 6:30

    Avec l’ agneau Je prends un Mouton !
    c est le pied NON ?

    Répondre
  33. Karl Todeschini

    4 avril 2010 à 6:29

    Moi ce sera un magnum de moulin st georges 2000 décanter depuis 15 min. top a l’ouverture comme d’ab …

    Répondre
  34. Jean Pierre Prévost

    4 avril 2010 à 6:27

    Ca envoie du gros là, Marie ! ^^

    Répondre
    • Emmanuel DELMAS

      4 avril 2010 à 6:31

      J’avoue que cela est en effet, bien tentant !

      Répondre
  35. Jean Pierre Prévost

    4 avril 2010 à 6:25

    Pas mieux Philippe ! Quoique si, s’il s’agit de côtes d’agneau grillées au thym, une belle Syrah de la vallée du Rhône, bien épicée, soyeuse à souhait. Ca peut aussi être une option !

    Répondre
  36. Patrick Maclart

    4 avril 2010 à 2:38

     

    Des mojettes qui font peuteï ! Comme on dit dans ce coin là…

    Répondre
    • Emmanuel DELMAS

      4 avril 2010 à 2:39

      Je vois très bien ce dont tu veux parler, Patrick…:-)

      Répondre
  37. Philippe Larche

    4 avril 2010 à 2:37

    Agneau de Pauillac + Pauillac : l’équation est simple mais crédible ! Sinon, je le marierais bien avec un Léoville las Cases, à la structure presque toujours impeccable, ou bien un Cos
    d’Estournel 2002, ni trop vieux ni trop jeune…
    Trop chers, peut-être ??? Optez pour un vin de Fronsac, trop souvent méconnus, très abordables, et aux tannins bien présents (grâce à la molasse du fronsadais qui compose les sols) !

    Répondre
    • Emmanuel DELMAS

      4 avril 2010 à 2:39

      On oublie bien souvent les vins de Fronsac, qui reposent pourtant sur un terroir, comme tu le souligne bien, plus qu’intéressant !

      Répondre
  38. Patrick Grenson

    4 avril 2010 à 2:35

    Agneau et mojettes ,chez nous la paques ce seras comme ça.et puis tiens un mouton 1994.joyeuses paques a toutes et tous

    Répondre
  39. Fabrice VinsurVin

    4 avril 2010 à 10:57

    La viande de Pâques par excellence ! Si les parties de l’agneau sont vastes (côtelettes, selle, rôti, gigot, épaule, collier, souris, abats ?), les façons de le
    cuisiner ne le sont pas moins !

    Avec un « gravy » à l’anglaise ? dans un tajine ? aux speculos ?!!. Les accompagnements sont infinis. Personnellement, vu que c’est une viande très goûteuse, forte
    parfois même (pour qui a goûté l’agneau de pré-salé du Mont Saint-Michel), j’aime des vins du sud avec, des vins assez puissants. Bandol, Gigondas, Faugères.

    Répondre
  40. Patrick Grenson

    4 avril 2010 à 10:42

    cuvée ‘le poiré’du domaine st nicolas (negrette vielles vignes 30,hl/h)

    Répondre
  41. Chablis Defaix

    4 avril 2010 à 10:55

    Voila une excellente réponse qui me plait
    j apporte la première !

    Répondre
  42. Jean Pierre Prévost

    4 avril 2010 à 10:53

    Avec un Mouton Rothschild ? Un Lafitte Rothschild, juste pour comparer… ^^

    Répondre
  43. Jean Pierre Prévost

    4 avril 2010 à 10:53

    M’étonnerait qu’il réponde des Nuggets de Volaille !! ^^

    Répondre
    • Emmanuel DELMAS

      4 avril 2010 à 10:55

      Ce serait faire ombrage à Mouton Rotschild. J’ai d’ailleurs rarement l’occasion de manger des nuggets, bien que cela ne soit pas si mauvais…

      Répondre
  44. Sammy Scieur

    4 avril 2010 à 10:52

    montrose ou troplong mondot….:-)

    Répondre
  45. Daniel Etienne Defaix

    4 avril 2010 à 10:47

    Et Toi Emmanuel,
    que servirai tu avec un Mouton Rotschild ?

    Répondre
    • Emmanuel DELMAS

      4 avril 2010 à 10:50

      Tout seul ! J’ai trop rarement été ébloui par ce vin…

      Répondre
  46. Emmanuelle Fleury

    4 avril 2010 à 10:46

    un « Antika » turque, cépages: calkarasi et bogazkere, et si le met est très épicé un « Selection » turque aussi, cépages: öküzgözü et papazkarasi

    Répondre
    • Emmanuel DELMAS

      4 avril 2010 à 10:51

      J’ai en effet dégusté des vins étonnants turcs également. Très intéressant !…

      Répondre
  47. Jean Pierre Prévost

    4 avril 2010 à 10:45

    Des flageolets, pourquoi ? ^^ Si l’ageneau est de Pauillac, un Pauillac of course… Mais tout dépend de quel morceau d’agneau l’on parle et de sa cuisson.

    Répondre
  48. Aurélia Filion

    4 avril 2010 à 10:44

    Ben… il est comment ton agneau ?

    Répondre
  49. Christophe Boudier

    4 avril 2010 à 10:43

    Corbiéres, patrimonio, Irouléguy, bandol, St-Joseph, Ajaccio rouge, faugéres, crozes hermitage blanc

    Répondre
    • Emmanuel DELMAS

      4 avril 2010 à 10:51

      Bien joué, Christophe ! Bonne spropositions…

      Répondre
  50. Cathy Schmitt

    4 avril 2010 à 10:42

    Un pinot noir !

    Répondre
  51. Marie Laure D

    4 avril 2010 à 10:39

    Un vin qui va avec ! Lol !

    Répondre
    • Emmanuel DELMAS

      4 avril 2010 à 10:51

      Cela, c’est ce qu’on appelle avoir de la répartie, Marie Laure ! 🙂

      Répondre
  52. Fabrice VinsurVin

    22 décembre 2009 à 1:22

    L’agneau, c’est g… Afficher davantageénial pour chercher l’accord
    parfait avec le vin, mais très difficile également (trouve-je). Le gourmet qui possède une cave et qui connaît ses vins (ce qui n’est pas toujours le cas) est un peu avantagé. Normalement je dirais
    pas de gamay type fleurie ou brouilly, mais un moulin à vent -Janin ? Desvignes ? – marqué par son sol, racé, mature et bien élevé conviendra – n’est-ce pas, Manu ?. J’aime bien le chinon (côté
    Cravant) avec l’agneau salé du Mont Saint-Michel, ou un saumur de Varrains. Le meilleur pour la fin : un Fief Vendéen du domaine Saint-Nicolas.
    Bonnes fêtes !

    Répondre
  53. Fabien Suquet

    22 décembre 2009 à 1:26

    Emmanuel,

    J’ai déjà testé et avec tajine et pastilla c’est un véritable régal et un accord des plus original et magique, un Aimé Cazes 76, un Dom Brial 93 voire même plus jeune en 2003 sont des perles à
    accorder avec.

    Les moments les plus magiques que j’ai connus autour de l’agneau l’ont été à l’Octopus à Béziers avec les déclinaisons de Fabien Lefèbvre « Tout Marrakech dans l’agneau » version 2005 et 2006, un
    régal pour les papilles, un bonheur autour du travail de cette viande à la chair délicate mais tellement parfumée et des épices, un travail ciselé d’orfèvre, grand témoin de la réalisation d’un MOF
    au titre amplement mérité….

    Répondre
    • Emmanuel DELMAS

      22 décembre 2009 à 1:42

      Voilà ! Effectivement, en tajine, entoure d’epices, on peut l’associer a un tel vin, d’autant plus complexe et detendu avec le temps. Je te suis ! D’ailleurs, un
      Gewurztraminer grand cru Zinnkopfle, arrondi et opulent jeune, qui serait rendu plus docile avec le temps, comme ce 90 de Seppi Landmann, pourrait aussi accompagner un tel plat. Voilà, on commence
      a chauffer les neurones, et…les papilles, la !

      Répondre
  54. Patrick Maclart

    22 décembre 2009 à 1:23

    On a aussi oublié un incontournable à mes yeux : Bandol !! Allez, la Tour du Bon « cuvée Saint-Férréol » 1999, patiné à souhait, tanins fondus, nez de garrigue et de thym. Pourquoi des vins trop
    forts, trop jeunes avec l’agneau ? Cette viande délicate demande bien plus de tendresse que des 2005 ou 2007, non ?

    Répondre
  55. Patrick Maclart

    22 décembre 2009 à 1:22

    Deux pistes originales pour toi, l’ami. J’aime la saveur des syrah patinées sur l’agneau. Crozes-Hermitage « les Châssis » 2004 du domaine des Hauts-Châssis, de mon pote Franck Faugier. Délicatement
    épicé, fruit arrondi, chair moelleuse, parfait pour l’agneau. Sans quoi : Barbera d’Alba 2000 de Silvio Grasso, profond, terrien, au fruité mûr… Là il faut adapter quelque peu.

    Répondre
    • Emmanuel DELMAS

      22 décembre 2009 à 1:41

      @ Stephane: Mais dis donc, tu t es constitue une sacree cave, mon pote ! Bon, va falloir que je t aide a la vider.
      @ Patrick: Completement d’accord avec toi. La patine est a privilegier. Le vin, tendu, fondu, persistant revele moins de « barrieres » notamment vis a vis des tanins qu’un vin trop jeune. Le tanin
      pose un probl…
      @ Fabien: Original, ca ! Mais je reste quelque peu dubitatif. A essayer a l’occasion. Mais l’idee n’est pas a ecarter !

      Répondre
  56. Stéphane Couronné

    22 décembre 2009 à 1:19

    Un Giacometti 2006 (desert des agriates)

    Répondre
  57. Laurent Baraou

    21 décembre 2009 à 11:11

    Un Grand Blanc 2002 d’Henri Milan !!! Si si ! Déjà fait avec agneau des alpilles, top slurp !

    Répondre
  58. Stéphane Couronné

    21 décembre 2009 à 11:14

    Patrimonio !

    Répondre
    • Emmanuel DELMAS

      21 décembre 2009 à 11:15

      @ Laurent: J’ose, et te suis !
      @ Daniel Etienne: Veleurs sûres, j’adhère !
      @ Emilie: Osons l’originalité.

      Mon pote Stéphane, propose un Patrimonio; Et j’applaudis ! De jolis vins, tendus, et giboyeux après quelques années de maturation. Stéphane vit en Corse. Promis, Steph, je prévois un périple dans
      le vignoble corse en ta compagnie dans l’année.Pas avant Juillet / Août. …

      Répondre
  59. Daniel E Defaix

    21 décembre 2009 à 11:12

    Figeac 88 ou 99
    bien sur toujours les pauillac !

    Répondre
  60. Emilie Jacquet

    21 décembre 2009 à 10:43

    Un Volnay-Santenots 00 Dom Leroy, un petit RAYAS ou Pialade ou Domaine des tours…

    Répondre
  61. Emilie Jacquet

    21 décembre 2009 à 10:31

    n’est-ce pas…… ???? Classique mais tellement bon….

    Répondre
    • Emmanuel DELMAS

      21 décembre 2009 à 10:36

      Pas plus original ?

      Répondre
  62. Emilie Jacquet

    21 décembre 2009 à 10:19

    PAULLAC…………..

    Répondre
    • Emmanuel DELMAS

      21 décembre 2009 à 10:22

      Que d’originalité, Emilie 🙂

      Répondre
  63. René

    23 décembre 2008 à 5:58

    Moi avec l’agneau, j’aime bien un bandol surtout le PIBARNON, sinon j’ai bien aimé le minervois L’OUSTAL BLANC La Liviniere un vin nouvellement disponible au QUÉBEC, des vins comme celui là on a veux d’autres. 

    Répondre
    • Emmanuel DELMAS

      23 décembre 2008 à 9:49

      Merci René, pour cette contribution.

      Répondre
  64. Stéphane VILLETTE

    23 décembre 2007 à 9:28

    Bonsoir Emmanuel,J’ai un souvenir mémorable d’une selle d’agneau farcie au Romarin et à la tapenade que j’avais associée avec un Beaucastel 97.J’en ai encore des frissons.@micalement.Stéphane.

    Répondre
    • Emmanuel DELMAS

      24 décembre 2007 à 10:14

      Ah oui, là, je veux bien te croire ! Heureux veinard, cet accord devait être fulgurant !Je m’en régale d’avance !Bonnes fêtes Stéphane

      Répondre
  65. stef10j

    21 décembre 2007 à 7:47

    J’ai découverts votre site depuis quelques jours et je suis avec ferveur, vos différents accords 😉 et je vous remercie de vos précieux conseils. Je vois que pour « vin et agneau » vous proposez d’accorder avec un cahors, je viens d’acheter justement aujourd’hui une caisse de Château des Rôches, cuvée Floréal 2004. Conaissez vous ce vin et  donc puis je preparer mes recettes d’agneau qui irons avec? Merci encore pour vos chroniques.

    Répondre
    • Emmanuel DELMAS

      22 décembre 2007 à 12:54

      Bonsoir,Non, j’avoue ne pas connaitre ce vin, mais je suis certain qu’il saura se lier avec un agneau rosé, par exemple, qui appréciera sa trame de tanins. Ouvrez quand même la bouteille plusieurs heures à l’avance, afin d’assouplir un peu ceux-ci, qui risquent de se révéler encore austères.Emmanuel D.

      Répondre
  66. Sophie

    11 août 2007 à 10:00

    Bonsoir Emmanuel, j’ai cuisiné un agneau avec des boutons de roses et nous avons bu du blanc. http://danslacuisinedesophie.blogspot.com/2007/07/agneau-faon-tagine-aux-boutons-de-roses.htmlJe crois que le rouge aurait été trop brutal. Ton avis ?Merci, Sophie 

    Répondre
  67. dawi

    21 décembre 2006 à 3:34

    Je n’aime pas le vin bien qu’ayant un resto mais ton blog est relativement interressant

    Répondre
  68. dujardin patrick

    3 septembre 2006 à 3:14

    Bonjour, j’apprécie votre site, pour ces commentaires si bien dosés, entr’autre pour les accords avec les mets.
    J’aimerai néanmoins avoir votre opinion sur les vins de Tahiti ,(Rangiroa)  leur originalité de par leur double vendange ?
    Par avance merci
    Patrick

    Répondre
    • Emmanuel DELMAS

      3 septembre 2006 à 10:35

       
      Bonjour,
      N’ayant pas encore eu l’occasion de déguster ces vins, je ne puis donner mon avis de façon objective.
      Il est vrai que le climat ne connaissant pas une période dite « froide », permet de connaitre des cycles végétatifs de 90 à 135 jours environ. D’où la possibilité pour le domaine de procéder à 2 récoltes par an. En sachant que la taille décide du début d’un nouveau cycle végétatif.
      Alors, il ne manque plus qu’à déguster…;-()
      Emmanuel

      Répondre
  69. Penglobe

    22 février 2006 à 6:59

    merci pour ta^proposition , Emmanuel!
    finissons l’agneau d’abord 😉

    Répondre
  70. marie

    22 février 2006 à 7:47

    Les photos sont très belles et vos articles sont très intéressants. Je vous ai recommandé auprès d’une personne passionnée comme vous de vin. Bon blog. Marie

    Répondre
    • Emmanuel DELMAS

      22 février 2006 à 9:58

       
      Merci pour le compliment, le vin est pretexte à l’échange et au partage, c’est pour cetteraison principalement, que j’ai débuté ce blog.

      Répondre

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