vallée, offrant des vins de qualité, parfois même des pépites. Eclairage sur cette partie de l’Australie du Sud. Vidéo à venir d’ici quelques semaines.
Altitude de 200 à 500 mètres
Vous trouverez Barossa Valley à environ 50 kilomètres au Nord d’Adélaide. L’histoire de cette région débute avec l’arrivée au milieu du 19è siècle de colons allemands. On
remarquera d’ailleurs que les spécialités locales, se tournent vers la gastronomie semblant alémanique, notamment les fameuses « wurst », les saucisses. Vous trouverez parmi les quelques villages
croisées, nombre de vieilles batisses, semblant sortir d’un décor de western. Les églises luthériennes nous rappellent les origines de cette région, marquée par sa riche histoire.
3 villages, se distinguent dans cette région, comptant chacun guère plus de 1 000 habitants.
Angaston, Niurootpa, et Tanunda.
Une verdure impressionnante, des eucalyptus à perte de vue, ces fameux arbres, donnant l’impression de s’assécher, qui, au fil des ans, se creusent en leur milieu…devant vous,
des vignes et une verdure à perte de vue, juste derrière, un sol rappelant à qui mieux-mieux, la dure réalité de la sécheresse du climat. Sol érodé, eucalyptus…impressionnant et saisissant,
vous le constaterez dès lors que la vidéo sera en ligne.
Le climat ici reste chaud, et sec, malgré toujours des matinées relativement fraiches. Le cépage riesling trouve là un joli terrain d’élection, au même titre d’ailleurs que sa voisine Clare
Valley.
Emmanuel Delmas
//
Patrick Maclart
Encore un excellent article. Une chose m’étonne : la présence d’eucalyptus. Il me semble que ce végétal consomme énormément d’eau, et soit sensible au feu… Bien adapté à la région ? Si tu peux m’éclairer…
Emmanuel DELMAS
L’eucalyptus est un végétal impressionnant, en effet. Avec l’âge et la sécheresse, il se déssèche de l’intérieur. D’ailleurs, il se fissure en son milieu, et tu
trouves de gros eucalyptus parfois séparés en 2 parties, à leur base.
Assez impressionnant ! Et surtout, comme tu le dis bien, sensible aux feux.
laurent
Salut Emmanuel,
décidément, tu te refuses à nous parler des plages australiennes, du surf sur les vagues, des maîtres nageuses sauveteuses en maillot rouge qui craquent devant un accent so frenchiiiiiiiiiiii.
Quel pro !
Dis-moi, as-tu placé des vins « naturels » dans la carte des restaurants que ton parcours t’a amené ? J’ai mis un article sur mon blog aujourd’hui. Il semblerait à la lecture de Le Temps, que Genève s’emblalle pour ces vins dans les 2 macarons du Michelin.
amicalement,
laurent
Emmanuel DELMAS
Bonjour Laurent,
Je ne sais quels sont les vins « naturels ». A l’époque, ceux-ci semblaient encore peu courants, alors qu’aujourd’hui, ce retour aux sources, de la terre, devient petit à petit une norma, un peu à
l’image de la « culture raisonnée ».Pas de Saurigny par exemple, mais plutot des vins natures, type Julien Meyer, en Alsace.
Je peux comprendre l’engouement pour ces vins, à Genève. Je ne réponds pas vraiment à la question, là…,()
Emmanuel